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Diplômé d'architecture à Paris en 1985, Christian Menu remporte, la même année, la consultation internationale lancée par l’Unesco pour un habitat « durable » dans le cadre de l’Exposition universelle de Tsukuba. Il obtient le Grand Prix mondial des jeunes architectes. Kenzo Tange, qu'il rencontre lors de son invitation à la Conférence internationale sur l’habitat à Tokyo, toujours en 1985, lui propose de rejoindre son équipe. Avec Stéphane du Château, élève de Le Ricolais, il travaille sur des structures de construction de haute technologie. Parallèlement, passionné par les sciences mathématiques et physiques, notamment par la physique quantique, il se rapproche de Iannis Xenakis pour évoquer ensemble ce que lui-même a tenté dans l’affiliation entre les mathématiques, l’architecture et la musique. Ces recherches aboutissent à des modèles urbains et architecturaux théoriques, qu’il expose à de multiples reprises en France et à l’étranger, au Japon, aux États-Unis, au Royaume-Uni... Et pour lesquels il est récompensé, notamment par le Prix international UIA « Habitat de demain ». Ces projets, aux ambitions novatrices et visionnaires, proposent une recomposition du territoire et du paysage bâti selon des principes de microcités environnementales et technologiques.
En 1985, avec Monique Mosser, historienne au CNRS spécialiste des jardins, et avec l’aide de la Fondation C.-N. Ledoux, dirigée par Richard Edwards, il mène des recherches sur les ponts bâtis, conclues par le dessin d'un jardin suspendu au-dessus de la Seine en plein cœur de Paris; une structure complexe en verre d'une seule portée. Il reçoit pour ce projet le Prix spécial d’architecture de l'Institut du verre. Étude, qui avec l’ensemble de son travail d’architecte, d’urbaniste, mais aussi de peintre, est exposée à la Fondation C.-N. Ledoux, à la saline royale d’Arc-et-Senans en 1986.
En 1987, il crée ses agences à Paris et La Rochelle. Il se consacre tout d'abord à des projets publics de développements urbains et d’équipements culturels et, depuis 2010, à des projets privés d'ensembles immobiliers de programmes mixtes et complexes.
En 1989, il remporte une consultation à La Rochelle sur l'aménagement d’une zone marécageuse de plus de 160 hectares. Michel Crépeau, maire et ministre, lui confie une mission d'urbaniste-conseil. Ce travail de réflexion sur le déploiement urbain de la ville dure vingt ans, jusqu'en 2009. Une expérience unique. Cet engagement lui permet de se confronter à toutes formes de situations propres à l’aménagement d'une ville aux multiples facettes et en reconversion : La Rochelle et son port historique, son secteur sauvegardé, ses ports et ses quartiers industriels des Minimes et de La Pallice, ses friches, sa côte... Cette même année, il est désigné pour réaliser les nouveaux agencements du musée de l’Armée à l’Hôtel national des Invalides à Paris. Il y met en œuvre des façades vitrées selon une technique de broches totalement originale. Il y conçoit la muséographie de la collection Gribeauval qui reçoit le Prix « Projet de l'année » de la revue T&A.
En 1990, il construit le Technoforum de La Rochelle pour lequel il met au point une des premières toitures de verre à joint collé, sur une surface de plus de 900 m2.
En 1993, il est retenu par le ministère de la Culture sur la liste de la nouvelle vague des créateurs français, tous les arts confondus, parmi une quinzaine d'architectes comme Barani, Berger, Borel, Deck, Hondelatte, Kagan, Jourda et Perraudin, Roche et parmi d'autres créateurs comme le chorégraphe Decouflé, les metteurs en scène Carax, Desplechin, Rochant, le compositeur Dusapin, le musicien MC Solaar, les plasticiens Lévêque, Calle...
En 2003, il remporte la consultation internationale pour la réalisation du musée du Grand Curtius de Liège.
En 2004, il propose à la ville de La Rochelle sur son principe de microcité, un aménagement de ses friches marécageuses du sud-est, en quartier lacustre vénitien, en y curant et recreusant les canaux comblés. Une cité dont la particularité est de n’être soumise qu'à une seule contrainte réglementaire, celle de la hauteur de ses constructions limitée par la courbure d’un velum général.
En 2005, il réalise pour le musée d’Île-de-France, une charpente de verre collée et mortaisée, sans la moindre agrafe métallique, exemple unique en France.
En 2006, il construit l’extension du musée Ernest Cognacq à Saint-Martin-de-Ré et en 2007 il est chargé en tant que commissaire de mettre sur pied une exposition pour le tricentenaire de la mort de l'ingénieur Vauban dans le cadre de la candidature de la citadelle de Saint-Martin-de-Ré pour son inscription au patrimoine mondial de l'Unesco obtenue la même année.
En 2007, il établit une réglementation pour le quartier portuaire et industriel de La Pallice à La Rochelle, sur un principe d'une libération des contraintes, notamment concernant les hauteurs des constructions, régies par un tracé régulateur harmonique dont il définit la composition.
En 2008, le Premier ministre de Belgique, accompagné du ministre de la Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles, réceptionne le musée des beaux-arts de Mons, le BAM, créé dans le cadre de la candidature et de la désignation de la ville comme capitale européenne de la Culture pour l'année 2015. Il reçoit la même année et pour cette réalisation qui est inscrite par la Fédération Wallonie-Bruxelles sur la liste du Guide d'Architecture moderne et contemporaine de 1885 à 2015, le Prix Museum de la presse.
Depuis 2012, il est chargé par la commune de Champéry de lui établir les schémas directeurs et d'aménagement de son développement urbain. Il y conçoit le réaménagement de la rue du Village dans le centre ancien classé. À cette occasion il rédige le livre La Route du Grand Paradis. Cette même année il réceptionne « Quai Ouest » à La Rochelle.
En 2014, il compose le plan de reconversion de la friche militaire du casernement Mangin à La Rochelle pour la construction d'un nouveau quartier de plus de 650 logements.
En 2017, il est consulté par le prince ben Rachid Al Maktoum pour réaliser une tour à Dubaï. Dans le même temps il y développe pour l’Exposition universelle de 2020, un concept de ville digitale « intelligente », fondée sur l'autonomisation des centres urbains et leur mise en réseau, toujours sur le principe de la microcité : culture vivrière et production énergétique domestiques, circuit court, recyclage. Principes qu'il reprend dans le développement de trois projets de logements.
En 2018, une première collaboration avec la mairie de Tours le mène à étudier l’opportunité d’un nouvel épannelage de grande hauteur pour le quartier du Hallebardier associé à une démarche bioclimatique.
En 2019, il conçoit un bâtiment-serre bioclimatique dioxygénant. Il réceptionne l'ensemble historique de 26 000 m2 de l'ancien commissariat de la Marine à l'arsenal royal de Rochefort où il développe parallèlement le grand projet de réhabilitation et de l'extension de l'ancien hôpital de la Marine pour une livraison en 2025-2027; une réhabilitation de 17 000 m2 et une extension de 45 000 m2 sous le jardin potager historique oublié, auquel il va redonner vie.
A partir de 2023 et pour les années 2024 2025 2026 2027, La Poste Immobilier lui confie la conception d'un ensemble immobilier inscrit au programme Territoires d'innovation de grande ambition initié par la Banque des territoires. Il développe l'aménagement du domaine protégé du château de la Salle F-71 pour la réalisation d'un resort 5*, il lance des études d'aménagement des bords de Seine à Courbevoie, il dessine un ensemble de mobiliers et de tapis d'un palais du Zattere à Venise. Il étudie les projets de deux fondations d'art et d'architecture.
Parallèlement, il poursuit une carrière de peintre dont les premières expositions ont eu lieu dès 1977, à partir de 2005 à la galerie Nicolas Deman à Paris, à partir de 2015 à la galerie Samyn à Roeselare en Flandre. Plusieurs de ses manuscrits ont été publiés, Le clos Saint-Pierre, À mort, À voix basse, Syracuse, Cargo, À la verticale du ciel, L'oubli, La route du Grand Paradis. Il prépare pour l'année 2024 un livre d'art et d'architectureintitulé Tokyo.
Aujourd'hui il partage sa vie entre Paris, Londres et Venise.
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